Il y a d'abord la crise de l'adolescence, pas mal du tout.
Et puis la crise de la quarantaine. C'est pas marrant à digérer. Parce qu'on a pris de la bouteille, et aussi on a un peu de recul.
On se cherche et on se veut une réussite intérieure, on se murit et on veut se bonifier.
On se rend compte qu'il ne faut plus gâcher le temps.
On a envie d'authenticité, on veut jouer tous nos atouts. La crise commence vers 35 ans, se poursuit bien jusqu'à 45 ans.
C'est pas un mal de chercher à s'améliorer...